Le lycée Giel Don Bosco à la découverte de la Californie.
12 février 2013
Pour la quatrième édition, 13 élèves de terminale du lycée Giel Don Bosco s’envoleront pour un séjour linguistique et culturel de 12 jours à Los Angeles au mois de mars prochain.
Les organisateurs Annie Szubert , professeur d’anglais et Alain Pouliquen, professeur d’économie, piloteront ce projet sur lequel certains jeunes très motivés travaillent depuis la classe de seconde. Nicolas, élève de terminale bac pro, a financé 75% de son séjour grâce à des actions ponctuelles de vente de chocolats ou de fleurs. En effet, l’organisation et le financement de ce séjour requiert beaucoup d’investissement ainsi qu’une excellente connaissance du terrain : « rien ne peut être laissé au hasard lorsque l’on emmène des élèves si loin » précisent les organisateurs.
Sur place les élèves occuperont une maison louée pour eux au bord du Pacifique et devront s’organiser pour les achats, la cuisine, ou toutes les tâches ménagères. Cet aspect de la vie quotidienne favorise une grande autonomie.
Le voyage de l’année dernière avait permis de tisser des liens avec l’école Don Bosco Technical Institute et renforcer les partenariats existants avec les entreprises locales.
A noter que deux élèves de terminale maintenance moto avaient pu effectuer un stage de 8 semaines à Los Angeles, l’un deux doit prochainement s’installer à Santa Monica.
Cette recherche de l’Eldorado sera une grande première pour ces élèves dont la plupart n’ont jamais quitté l’hexagone. Certains redoutent les 12 heures d’avion mais sont assurés que la récompense sera au bout : pour preuve un programme de visites bien chargé : une concession Harley Davidson, une prestigieuse collection privée de voitures, le barrage Hoover Dam sur le Colorado, Hollywood, Beverly Hills, les studios de cinéma et même une nuit à Las Vegas.
Un carnet de voyage réalisé par les participants et disponible en ligne permettra de fixer ces moments inoubliables.
Les voyages précédents avaient permis aux jeunes de prendre conscience que la quantité de « clichés » concernant les américains étaient très éloignés de la vérité.