« La famille salésienne au service de l’éducation des jeunes » : quand la télé belge présente l’histoire, la pédagogie, les défis et les projets de la famille de Don Bosco et de Marie-Do

1 mars 2025

Dans le cadre de l’émission « Il était une foi » diffusée le 23 février, deux représentants bien connus de la famille salésienne, le père Xavier Ernst, provincial nommé France-Belgique Sud (il prendra ses fonctions en août), et sœur Valentine Delafon, responsable de la communauté des sœurs salésiennes de Bruxelles-Ganshoren, étaient sur le plateau pour évoquer les 120 ans de présence salésienne en Belgique. Une émission de 28 minutes intitulée « La famille salésienne au service de l’éducation des jeunes ».

Sur la chaîne publique belge RTBF, le magazine « En Quête de Sens » accueille tour à tour les émissions Libres, ensemble (Centre d’action laïque), Il était une Foi (CathoBel), Présence Protestante (Association protestante de radio et télévision), Orthodoxie (Eglise orthodoxe en Belgique), Shema Israel (Consistoire central israélite de Belgique).

Deux reportages
Pour cette émission spéciale « Don Bosco », deux reportages ont, pour l’occasion, été effectués, à Liège et à Bruxelles. A Liège, à l’occasion des Bosco Games, un après-midi de jeux ayant eu lieu à l’institut Don Bosco. L’occasion pour le père Pierre Verger, salésien, de rappeler l’importance de la confiance dans la pédagogie de saint Jean Bosco : « Il disait, sans affection pas de confiance, et sans confiance, pas d’éducation. » A Bruxelles, c’est une plongée dans la vie de notre internat Don Bosco de Ganshoren, où 80 jeunes (de 6 à 21 ans) sont accueillis alors qu’il n’y a pas d’école sur place.

« Ce n’est pas par les coups mais par la douceur que tu t’en feras des amis » : le père Xavier Ernst rappelle cette phrase très forte que Jean Bosco a entendue dans son fameux rêve à 9 ans. Sœur Valentine évoque « la magie de ce que l’on appelle chez nous l’esprit de famille : au cœur de cette maison, nous sommes six sœurs à habiter là, mais il y a aussi des bénévoles, qui font le lien avec l’extérieur. » D’ailleurs, rappelle-t-elle, tous nos établissements sont appelés des « maisons ».

Défis d’aujourd’hui
Violence, addictions, intelligence artificielle, dépendance aux réseaux sociaux… les deux religieux sont aussi questionnés sur les défis éducatifs d’aujourd’hui et les fragilités de la jeunesse de ce temps.
Sur les cinq continents, rappelle également sœur Valentine, les « couleurs de Don Bosco » sont très différentes mais la priorité, ce sont les jeunes. Et au centre, le travail d’éducation. Une plongée fort bien faite sur ce qu’est la famille salésienne fondée par saint Jean Bosco et sainte Marie-Dominique Mazzarello, mais aussi sa pédagogie et sa spiritualité.

 

 

Pour regarder uniquement les deux reportages : 

 

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