Gémir sur son temps.
14 septembre 2016
Tant de gens connaissent la galère, le chômage, la maladie, l’exil, le deuil, la précarité, l’exclusion, le divorce, la violence, les attentats, la guerre, la haine, la solitude, la vieillesse et ses naufrages , la peur de l’avenir, le manque de solidarité, de fraternité, le chacun pour soi, le manque de repères, le dégoût de l’existence, la tentation du suicide, la mort…
Il suffit de regarder chaque soir le Journal télévisé de 20h et son lot de mauvaises nouvelles. Un climat se répand de plus en plus : celui de la désespérance, de l’indifférence, du fatalisme…Parler d’espérance peut sembler déplacé ! Mission impossible ?
Don Bosco disait : « le salésien accueille les valeurs du monde et refuse de gémir sur son temps. Il retient tout ce qui est bon, surtout quand cela plaît aux jeunes ».