Le bon sens comme raison spirituelle.
25 avril 2014
Considérer le bon sens comme une action, en nous, de l’Esprit Saint est sans doute difficile à percevoir. C’est dans la mesure où nous serons au plus près de leurs besoins que l’Esprit d’Amour se manifestera, en nous, pour le bien des jeunes dont nous avons la charge. Don Bosco n’était pas un rêveur. Il avait une conscience très aigüe de la réalité concrète qui lui résistait souvent, et donc, il faisait appel à Dieu, et souvent aussi à la Vierge Marie, parce qu’il était sûr que sa présence maternelle pouvait toucher les cœurs les plus endurcis.
On est là dans un registre affectif, qui rejoint bien les piliers de l’éducation à la manière de Don Bosco, raison, religion, affection. Don Bosco faisait ainsi autant qu’il le pouvait le lien entre la réalité concrète vécue par ses jeunes, et l’amour de Dieu présent dans son action.