Liberté dans les limites de la fraternité
6 août 2013
Lorsque nous parlons de vivre ensemble, de faire société ensemble, c’est dans un contexte de liberté que nous entendons y parvenir.
La liberté ne consiste pas à faire ce que l’on veut, quitte à se renier en permanence, mais à vouloir ce que l’on fait, notamment en tenant compte des personnes qui font route avec nous.
C’est là que la fraternité a encore son mot à dire car, sans elle, c’est le règne de la concurrence sauvage, du laisser-aller généralisé et, tout compte fait, du laminage des personnes. La fraternité m’incite au respect mutuel, ici encore à la reconnaissance de nos différences, sans que les uns prennent le dessus sur les autres.